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Alors que plusieurs appareils insolites apparaissent, on se demande à quoi ressemblera le “post-smartphone”.

Humane AI, Rabbit, lunettes connectée Brillant Labs ou Vision Pro d’Apple… Les gadgets insolites se multiplient. Lequel parviendra à s’imposer pour succéder au smartphone dans le futur ? Plusieurs défis techniques restent à relever. Mais ce sont surtout les usages qui sont difficile imaginer aujourd’hui. On voit mal la tech du futur avec les yeux du présent.

Le successeur du smartphone ne sera probablement pas une simple amélioration du smartphone d’aujourd’hui, mais quelque chose d’entièrement nouveau et inattendu. Si cela se trouve, le post-smartphone est déjà là, parmi ces produits étranges qui, pour l’instant, n’intéressent pas grand monde, mais il doit encore murir. L’histoire nous montre que la tech progresse par petites avancées et non par grands bonds.

[EN PARTENARIAT AVEC EDF] L’innovation technologique est un puissant levier de décarbonation des entreprises. Incubée par EDF, la startup Urbanomy aide les sociétés de toutes tailles à définir des stratégies de réduction de leur impact carbone.

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Les entreprises sont responsables d’environ un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. La plupart se sont engagées dans des démarches de diminution, mais il s’agit à chaque fois de chantiers délicats .

Pour EDF, l’horizon 2050 correspond à l’objectif fixé par la COP pour parvenir à un bilan de zéro émission net de gaz à effet à horizon de l’an 2050. C’est en ce sens que le groupe française innove, à l’aide de ses 2000 chercheurs à travers le monde, et accompagne des startup innovantes dans ce domaine. C’est le cas d’Urbanomy. un cabinet de conseil en stratégie énergie et climat.

Avec :

🎙 Julien Villeret, directeur de l’innovation d’EDF.

🎙 Lucie Raty, directrice générale déléguée d’Urbanomy.

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Mots-clés : Actu Tech, Décarbonation, CSRD, EDF, Empreinte Carbone, Entreprises, Environnement, Infos Tech, Innovation, Intelligence Artificielle, Low-Tech, News Tech, Zéro Émission.

La Commission Supérieure du Numérique et des Postes (CNSP), présidée par la députée Mireille Clapot, vient de rendre un avis sur la régulation de l’intelligence artificielle.

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L’avis de la Commission s’intéresse à tous les aspects de l’IA : impact sur l’environnement, impacts sociaux et sociétaux, gouvernance, accès aux données, recherche, financement ou encore la question des compétences.

Il s’agit de trouver un “équilibre entre innovation et réglementation”, estime Mireille Clapot qui souligne les efforts de l’Union européenne pour créer des cadres réglementaires reflétant les valeurs européennes, différents les approches adoptées par les États-Unis et la Chine.

La Commission insiste sur l’importance de la confiance du public envers l’IA, arguant que la régulation est essentielle pour établir cette confiance. Elle pointe du doigt l’urgence d’aborder l’impact environnemental de l’IA, ainsi que les répercussions sociales, notamment sur l’emploi. Mme Clapot préconise des mesures anticipatives, y compris des reconversions professionnelles, avec une attention particulière sur l’impact potentiel sur les femmes. La question des biais dans les données d’entraînement et la nécessité d’une politique publique robuste en matière de données sont également des priorités pour renforcer la souveraineté numérique de la France et de l’UE, selon cet avis.

Sur la question de la désinformation, Mme Clapot exprime des préoccupations quant à l’utilisation de l’IA pour générer des contenus à partir d’articles de presse, mettant en avant les enjeux de qualité et de fiabilité des informations. Concernant la question des droits d’auteur dans la problématique de l’entrainement des modèles, elle plaide pour une distinction claire entre les œuvres d’art et le journalisme, soulignant l’importance de la traçabilité et d’une rémunération équitable pour les auteurs.

Enfin, le rapport aborde le sujet de l’utilisation de l’IA dans les services publics. La France serait leader dans ce domaine, avec des expérimentations pour améliorer l’efficacité des services publics. Cela pose, cependant, des questions d’éthique, de droit à l’information des usagers, et de contrôle humain sur les technologies.

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Mots-clés : Actu Tech, Désinformation, Droits D’auteur, Écologie, Économie, Éducation, Emploi, Environnement, Éthique, Europe, Gouvernance, IA, Infos Tech, Innovation, Intelligence Artificielle, News Tech, Numérique, Politique, Public, Réglementation, Régulation, Recherche, Souveraineté, Technologie, Traçabilité.

Assistants virtuels, amis virtuels, amants virtuel… La journaliste Claudia Cohen a enquêté sur ces intelligences artificielles conversationnelles qui se développent.

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Les IA prennent de plus en plus la forme de personnages virtuels, en vidéo et en audio, qui permettent une interaction plus avancée avec les utilisateurs. Elles possèdent des voix personnalisées et même, parfois, un physique imposé ou personnalisable. L’enquête du Figaro met en évidence la dimension psychologique de cette relation, avec des avatars virtuels. Les entreprises qui proposent ces service assurent qu’il n’y a pas de sentiment développé avec une IA. Toutefois, on voit bien que La barrière entre l’humain et la machine commence à s’effriter et que l’on se dirige vers des scénarios de science-fiction que l’on n’imaginait devenir un jour réalité.
Ces innovations laissent entrevoir de vrais avantages, notamment pour remplacer des tâches pénibles. Cependant, ces services sont développés par des entreprises à but lucratif et évoluent sans cadre légal et juridique clairement défini. Actuellement, il n’est pas obligatoire pour ces entreprises de préciser si la personne avec qui vous interagissez est une IA.
Un aspect surprenant de cette enquête est la rapidité avec laquelle les clones virtuels d’influenceurs se sont développés. Les influenceurs créent des clones virtuels d’eux-mêmes pour être actifs en permanence sur les réseaux sociaux, ce qui leur permet de se démultiplier et de maximiser leurs profits en déléguant certaines tâches. Les utilisateurs sont très réceptifs à cette idée, comme le montre l’exemple d’une influenceuse américaine qui a rapidement gagné plus de 35 000 abonnés payants en un mois grâce à son clone virtuel.

Ce nouveau visage de l’IA soulève de nouvelles questions et pourrait révolutionner différents domaines professionnels. C’est cet aspect qui est mis en évidence dans l’enquête du Figaro.

Lire l’enquête du Figaro : “Demain, allons-nous parler avec des IA ?“

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Mots-clés : Actu Tech, Assistants virtuels, Avatars, Clones, , Dystopie, IA, Infos Tech, Innovation, News Tech, Psychologie, Voix

Cet épisode de Monde Numérique explore la fusion humain-machine, les deepfakes, la régulation de l’IA, la cyberattaque contre la secu et les technologies de décarbonation des entreprises.

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L’ACTU TECH DE LA SEMAINE (avec Lisa Debernard)

33 millions de numéros de sécu dans la nature suite au piratage de deux sous-traitants, 25 millions d’euros volés dans une entreprise via une incroyable arnaque au deepfake, Meta et OpenAI partent en guerre contre les fausses images générées par IA, Marina Ferrari nommée nouvelle secrétaire d’Etat au numérique.

LE DEBRIEF TRANSATLANTIQUE (avec Bruno Guglielminetti, Mon Carnet)

Les Etats-Unis et l’Europe veulent criminaliser les deepfakes pornographiques non sollicités. On revient aussi sur la validation du règlement AI Act par l’Union Européenne.

L’INNOVATION DE LA SEMAINE

Une startup américaine, Morse Micro, a mis au point un super Wi-Fi capable de porter jusqu’à 3 km.

LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE

🎙 Claudia Cohen, journaliste au Figaro, a enquêté sur les avatars et autres assistants virtuels qui envahissent notre quotidien, à travers les services clients de entreprises mais aussi les réseaux sociaux et les applis qui permettent de créer des doubles virtuels (plus d’info).  

🎙 Mireille Clapot, député de la Drôme, présente le rapport de la Commission Supérieure du Numérique et des Postes (CNSP) sur l’intelligence artificielle, qui balaye tous les aspect de l’impact de l’IA.

🎙 Julien Villeret, directeur de l’Innovation d’EDF, évoque la question de la décarbonation des entreprises, dans le cadre de la série spéciale “Objectif 2050” [PARTENARIAT].

Bonne écoute ! 

Mots-clés : Actu Tech, Arnaque, Avatars, Deepfake, Décarbonation, Europe, Fausses Images, IA, Infos Tech, Innovation, Intelligence Artificielle,News Tech, Piratage, Règlementation, Réseaux, Wi-Fi

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Dans cet épisode bonus, je vous raconte ma propre expérience de producteur de podcast pour la prise de son en reportage. Je vous explique mon choix de micro sans fil… un peu particulier.

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Quand on travaille dans l’audiovisuel, on est obligé de mettre les “mains dans le cambouis” et de tester toutes sortes de choses pour travailler, surtout quand on est geek. Tout au long de ma carrière à la radio, j’ai cherché le meilleur moyen de réaliser des enregistrements audio de qualité de manière pratique et simple, quitte à sortir des sentiers battus.

Aujourd’hui, pour le podcast Monde Numérique, pour les prises de son en extérieur, j’ai opté pour l’iPhone car cela permet à la fois un enregistrement audio de qualité, une captation vidéo et des fonctions de transmission et de montage.

Pour le dernier salon CES de Las Vegas, après plusieurs tests, j’avais opté pour un micro Shure SM58 (micro de chant classique), relié à mon smartphone par câble USB-C à l’aide d’un adaptateur XLR-USB Shure MVX2U. C’était vraiment bien, mais encore un peu compliqué à manipuler en raison du câble reliant le micro au smartphone.

De retour en France, j’ai voulu tester le tout nouveau double micro sans fil DJI Mic 2, destiné aux “vlogueurs”. Celui-ci se compose d’un récepteur USB-C ou Lightning, qui se branche sur le smartphone, et de deux micros HF à réduction de bruit. L’ensemble est livré dans une boite qui fait aussi office de chargeur. C’est un super produit. L’autonomie peut aller jusqu’à 15h et la portée jusqu’à plus de 100 mètres. Malheureusement, je trouve que la qualité de prise de son n’est pas assez bonne pour faire du podcast, car pour de l’audio seul on aime avoir un son chaud et rond.

J’ai donc bricolé un truc : j’ai relié mon micro Shure SM58 à l’un des petits émetteurs DJI (grâce à l’entrée mini-jack), afin de profiter de la connectivité sans fil. Ça marche plutôt bien !

Il reste seulement la question de la connectique qui pour l’instant n’est pas terrible, avec un câble XLR-mini-jack enroulé à la base du micro. Du coup, j’ai commandé un raccord sans câble, d’une seule pièce, qui devrait me permettre d’avoir un système plus ergonomique.

Voilà, vous savez tout.

Entreprise – A l’approche du salon Viva Technology, les dirigeants auraient une confiance croissante dans les technologies, selon une étude. 🎙 François Bitouzet, Directeur Général de VivaTech, commente ces chiffres.

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Apparemment, la tech a le vent en poupe dans le coeur des responsables d’entreprises. C’est ce qui ressort du premier baromètre réalisé par OpinionWay pour Viva Technology & Wavestone, qui révèle un “score de confiance de 86/100”. 96% des responsables interrogés jugent que l’intégration des nouvelles technologies est un enjeu crucial pour l’entreprise.

IA, cloud, cybersécurité… Une forte majorité estime que les grandes innovations technologiques sont une solution pour améliorer la productivité mais aussi pour répondre aux défis du climat, de la désinformation ou encore de la santé. Bien que cette étude soit la première du genre et qu’il n’y ait donc pas de recul, il ressort que 72% des professionnels interrogés auraient une opinion en faveur des technologies qui a évolué positivement au cours de l’année et qui s’est renforcé au fil des mois.

Baromètre Viva Technology & Wavestone mené par OpinionWay en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis.

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Mots-clés : Actu Tech, Cloud, Confiance, Cybersécurité, Désinformation, Entreprises, IA, Infos Tech, Innovation, News Tech, Productivité, Santé, Technologies

🎙 Marco Landi, ancien président de Texas Instruments et d’Apple Computer, mène une croisade en faveur de l’IA en Europe. Il nous présente le salon World AI Cannes Festival, qui se tient du 8 au 10 février 2024.

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Après avoir créé la Maison de l’Intelligence artificielle à Sofia Antipolis pour préparer les jeunes à la technologie, Marco Landi s’est lancé dans l’aventure d’un salon entièrement consacré à l’IA, le World AI Cannes Festival (WAICF). Cet ancien haut dirigeant de la tech s’est lancé dans une croisade pour développer l’IA en Europe. Il évoque ses inquiétudes quant à notre dépendance envers les géants technologiques américains et chinois. Il souligne la nécessité de mettre en place un plan européen pour l’IA et de créer une souveraineté numérique européenne.

Selon lui, l’intelligence artificielle ne se limite pas aux algorithmes mais elle comprend aussi les microprocesseurs et les données. Or, il déplore le retard européen dans ce triptyque, notamment en matière de matériel dédiés à l’IA dominé par l’Américain Nvidia.

Le WAICF sera notamment marqué par la présence du robot humanoïde Sarah, développé en Arabie Saoudite, et par d’autres innovations comme le robot de la société française Enchanted Tools.

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Ecoutez l’autre partie de l’interview de Marco Landi : L’ancien président Monde d’Apple raconte sa vision de la tech

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Mots-clés : Actu Tech, Europe, IA, Intelligence Artificielle, Microprocesseurs, News Tech, Numérique, Robot, Salon, Souveraineté, Technologie, Technologiques.

Ancien Chief Operating Officer (COO) d’Apple, 🎙 Marco Landi revient sur son parcours dans la tech et analyse la stratégie de la marque à la pomme. Selon lui, Apple devrait innover davantage en matière d’intelligence artificielle.

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Ancien président de Texas Instruments et ex-haut dirigeant d’Apple, en Europe puis aux Etats-Unis de 1993 à 1997, Marco Landi connaît le monde de la tech sur le bout des doigts. Dans cette première partie de l’interview qu’il a accordée à Monde Numérique, il revient sur son parcours professionnel, depuis sa Toscane natale jusqu’au siège d’Apple à Cuppertino. Il évoque son expérience avec Steve Jobs, qu’il qualifie de “génie interstellaire” avec lequel il n’était pas facile de travailler.

A propos d’Apple aujourd’hui, Marco Landi estime que le masque Vision Pro n’est pas une bonne idée et que la marque à la pomme ferait mieux de sortir une innovation réellement disruptive, comme un véhicule autonome ou un assistant intelligent personnel sur smartphone.

Aujourd’hui président de la société italienne QuestIT, Marco Landi est également l’organisateur du World AI Cannes Festival, un grand rendez-vous consacré à l’intelligence artificielle (8-10 février 2024), à écouter dans un autre épisode.

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Ecoutez l’autre partie de l’interview de Marco Landi : WAICF, le festival de Cannes de l’IA 2024

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Mots-clés : Actu Tech, Apple, Cannes, IA, Innovation, Intelligence artificielle, News Tech, Start-Ups, Tech, Technologies, Vision Pro, Infos Tech

Le masque de réalité virtuelle / augmentée Vision Pro d’Apple est enfin là (aux États-Unis). Est-ce une révolution technologique ?

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Bien que le concept d’utiliser un masque de réalité virtuelle dans la rue puisse sembler étrange, voire ridicule, cela rappelle les débuts des téléphones portables et des Google Glass, qui ont également suscité des réactions similaires. Au-delà d’un simple gadget. Apple présente le le Vision Pro comme la première étape vers un tout nouveau concept appelé “informatique spatiale”. En le portant, on peut voir le monde réel à travers des écrans de haute qualité, avec des images virtuelles superposées et flottantes devant nos yeux. Ce casque révolutionnaire utilise des capteurs et des caméras intelligents pour détecter les mouvements des yeux, des lèvres et des doigts, permettant ainsi d’interagir avec les éléments virtuels affichés. De plus, l’extérieur du masque affiche les yeux de l’utilisateur de manière animée, permettant aux personnes autour de continuer à interagir avec lui.
Bien que le casque propose de nombreuses applications intéressantes, on se demande encore à quoi cela peut réellement servir. Tim Cook, le PDG d’Apple, est fier de cette nouvelle technologie et voit le Vision Pro comme une première étape vers de nouvelles façons d’utiliser la réalité augmentée et virtuelle.

Dans cet épisode, on s’interroge sur le potentiel du Vision Pro d’Apple. 🎙 Marco Landi, ancien dirigeant d’Apple, pense que la marque à la pomme fait fausse route et qu’elle ferait mieux de se concentrer sur le développement d’assistants virtuels et sur la communication facilitée. Selon lui, c’est là que réside l’avenir d’Apple.

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Mots-clés : Actu Tech, Apple, Informatique, News Tech, Réalité virtuelle, Réalité augmentée, Technologie, Infos Tech, Vision Pro